2021-04-15
Pendant que nous sommes protégés
Nous devons également penser davantage à l'environnement !
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La pollution des masques, plus grave que vous ne le pensez !
De l'autre côté de la montagne, de l'autre côté de la mer, il y a des tas de masques bleus abandonnés !
Ce n'est pas une blague; rappelez-vous que les membres de l'organisation française de protection marine l'année dernière ont dit une fois avec flirt : "La France vient de commander 2 milliards de masques, la mer Méditerranée sera bientôt plus de masques que de méduses", mais ce n'est que le début.
L'Organisation mondiale de la nature a un jour averti que si 1 % de tous les masques étaient mal manipulés, il pourrait y avoir 10 millions de masques jetés par mois.
Selon un récentOCÉANS ASIErapport de décembre 2020, au moins 1,56 milliard de masques seront jetés dans le monde en 2020 !
Ces masques équivalent à 4680 tonnes à 6240 tonnes de déchets plastiques, soit dans l'océan, soit cachés dans les terres, et les spectacles mis au rebut comptent sur le milieu naturel pour se dégrader ; cela prendra environ 450 ans !
Même dans les pays étrangers, il y a des employés du supermarché qui se sont plaints, "le plus que vous puissiez voir dans le panier avant, c'est parfois une couche sale, maintenant beaucoup de gens jettent des masques jetables à l'intérieur. À chaque fois, pour que je doive porter un sac poubelle à nettoyer" !
Donc, ce n'est pas qu'il n'y a pas de pollution, mais quelqu'un paie pour ces actions.
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Le matériau principal des masques jetables est le polypropylène ; son diamètre de fibre est excellent, seulement 1 à 5 microns, peut être très efficace pour filtrer les impuretés et les virus en suspension dans l'air. Ce matériau a un nom plus commun :Plastique.
Il n'est pas difficile d'expliquer pourquoi la dégradation naturelle du masque prend cent ans !
Après avoir reconnu cela, de nombreuses organisations d'intérêt public ont pris des mesures.
Sur la plage des îles Soko à Hong Kong, en Chine, des volontaires ont pu accrocher une longue branche à ce qu'ils avaient ramassé sur le rivage, et le point difficile à croire est que seulement une demi-heure s'était écoulée depuis l'événement.
Les masques nous protègent du virus, mais d'une manière qui accélère l'extinction de la faune. Nous ne renoncerons pas à nous protéger dans cette situation, mais nous ne pouvons pas non plus continuer à nuire à l'environnement naturel. C'est à nous de discipliner notre comportement. Sinon, la situation actuelle n'est que le début !
Avant de jeter votre muselière, veuillez couper la ficelle, la mettre dans un sac, l'attacher et la jeter à la poubelle ! Ne laissez pas la "destruction écologique" devenir la voie vers la disparition du virus !